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PHOTOGRAPHIE ET IMPERMANENCE

PHOTOGRAPHIE ET IMPERMANENCE
  • Ce blog vous propose de cheminer le long des multiples vies de l’instant présent, capté par le regard de l'objectif... En passant par la forme qu’il revêt dans son environnement, jusqu’aux extrapolations les plus folles de notre imagination créatrice.
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27 mars 2012

La forme

"Si rien avait une forme, ce serait cela"

Victor Hugo, en parlant de la lune...

LUNE

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27 mars 2012

L'Amour

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"Aimer l’autre, cela devrait vouloir dire que l’on admet qu’il puisse penser, sentir, agir de façon non conforme à nos propres désirs, à notre propre gratification...

Mais l’apprentissage culturel au cours des millénaires a tellement lié le sentiment amoureux à celui de possession, d’appropriation, de dépendance par rapport à l’image que nous nous faisons de l’autre, que celui qui se comporterait ainsi par rapport à l’autre serait en effet qualifié d’indifférent.

Ce que l’on appelle « amour » naît du réenforcement de l’action gratifiante autorisée par un autre être situé dans notre espace opérationnel et le mal d’amour résulte du fait que cet être peut refuser d’être notre objet gratifiant ou devenir celui d’un autre, se soustrayant ainsi plus ou moins complètement à notre action. Ce refus ou ce partage blesse l’image idéale que l’on se fait de soi, blesse notre narcissisme...

On naît, on vit et l’on meurt seul au monde, enfermé dans sa structure biologique qui n’a qu’une seule raison d’être : celle de se conserver. Mais, chose étrange, la mémoire et l’apprentissage font pénétrer les autres dans cette structure..."

"L'éloge de la fuite" Henri Laborit

 

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27 mars 2012

Jaillissements

 

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vagues

 

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27 mars 2012

Pulsion et besoin

 

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"La fonction du système nerveux consiste essentiellement dans la possibilité qu’il donne à un organisme d’agir, de réaliser son autonomie motrice par rapport à l’environnement, de telle façon que la structure de cet organisme soit conservée.

La motivation fondamentale des êtres vivants semble être le maintien de leur structure organique. Mais elle dépendra soit de pulsions, en réponse à des besoins fondamentaux, soit de besoins acquis par apprentissage.

Avec le cortex, on accède à l’anticipation, à partir de l’expérience mémorisée des actes gratifiants ou nociceptifs, et à l’élaboration d’une stratégie capable de les satisfaire ou de les éviter respectivement. Il semble donc exister trois niveaux d’organisation de l’action.

Le premier, le plus primitif, à la suite d’une stimulation interne et/ou externe, organise l’action de façon automatique, incapable d’adaptation.

Le second organise l’action en prenant en compte l’expérience antérieure, grâce à la mémoire que l’on conserve de la qualité, agréable ou désagréable, utile ou nuisible, de la sensation qui en est résultée. L’entrée en jeu de l’expérience mémorisée camoufle le plus souvent la pulsion primitive et enrichit la motivation de tout l’acquis dû à l’apprentissage.

Le troisième niveau est celui du désir. Il est lié à la construction imaginaire anticipatrice du résultat de l’action et de la stratégie à mettre en œuvre pour assurer l’action gratifiante ou celle qui évitera le stimulus nociceptif.

Le premier niveau fait appel à un processus uniquement présent, le second ajoute à l’action présente l’expérience du passé, le troisième répond au présent, grâce à l’expérience passée par anticipation du résultat futur.

Le système nerveux commande généralement une action. Si celle-ci répond à un stimulus nociceptif douloureux, elle se résoudra dans la fuite, l’évitement. Si la fuite est impossible elle provoquera l’agressivité défensive, la lutte."

"L'éloge de la fuite" Henri Laborit

 

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27 mars 2012

Eloge de la fuite

Prendre les voiles

 

"Quand il ne peut plus lutter contre le vent et la mer pour poursuivre sa route, il y a deux allures que peut encore prendre un voilier : la cape (le foc bordé à contre et la barre dessous) le soumet à la dérive du vent et de la mer, et la fuite devant la tempête en épaulant la lame sur l’arrière avec un minimum de toile.

La fuite reste souvent, loin des côtes, la seule façon de sauver le bateau et son équipage. Elle permet aussi de découvrir des rivages inconnus qui surgiront à l’horizon des calmes retrouvés.

Rivages inconnus qu’ignoreront toujours ceux qui ont la chance apparente de pouvoir suivre la route des cargos et des tankers, la route sans imprévu imposée par les compagnies de transport maritime.

Vous connaissez sans doute un voilier nommé « Désir ».

"Eloge de la fuite" Henri Laborit

 

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22 mars 2012

Mémoire instantanée

Lors de mes nombreuses balades sur la plage, je pose souvent mon regard sur le sable, où je suis fascinée par les traces du passage incessant des vagues...

Des centaines voire des milliers de dessins éphémères, que l'on ne peut saisir que dans l'instant, naissent et meurent chaque jour...

Quelle merveille que ces cadeaux quasi quotidiens qui s'offrent à moi, à vous...

 

forêt B

 

Les 3 frères B

 

naturel

 

Noeud B

22 mars 2012

Insolite

 

En un autre temps...

 

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 En d'autres lieux...

 

 DZ 1

 

DZ 24

 

 Une bicyclette n'en fait qu'à sa tête...  

 

DZ 25

 

 Tandis qu'une porte s'ouvre... 

 

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 Sur l'infini... 

 

DZ 26

 

22 mars 2012

Transformation

Je me surprends à imaginer que la vie circule dans les veines des "arbres des plages"...

Après

 

après 1 B

 

 naturel 1

Et qu'ils se multiplient...

reflets B

 

22 mars 2012

Elégance et butinage

 

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22 mars 2012

Le plus beau ?

 

loulou

 

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